La notice qui suit ainsi que la chronique des éditions Pléiade, tout comme les premières interventions, sont de l’intervenant (et désormais riche contributeur) Lombard. Je le remercie chaleureusement.

Voilà une bonne occasion de lancer un appel : Beaucoup d’auteurs ne sont pas encore traités sur Propagerlefeu.fr. Ceci est entièrement de la faute de votre hôte, qui consacre si peu de temps aux choses importantes. Chacun est donc le bienvenu pour intervenir sur le site et me proposer une recension d’édition de son auteur fétiche. 

Laissons donc la parole à Lombard :


Honoré de Balzac (1799 – 1850)

Né à Tours en 1799, Honoré de Balzac, est un écrivain français, romancier, auteur dramatique, critique littéraire, critique d’art, essayiste et publiciste. Il est l’auteur d’une des plus grandes œuvres romanesques de la littérature française, avec plus de cent romans,  nouvelles et ébauches parus de 1829 à 1855, assemblés sous le titre La Comédie humaine, auxquels il convient d’ajouter Les Contes drolatiques, des romans de jeunesse publiés sous pseudonyme ainsi qu’une immense correspondance.

En 1825, il acquiert une imprimerie mais il fait faillite et contracte de nombreuses dettes. Il se consacre alors presque exclusivement au roman. Dans son avant-propos à La Comédie humaine, Balzac exprime son ambition d’identifier et de décrire les groupes sociaux de son temps à l’instar des groupes zoologiques répertoriés par Buffon.

Il fréquente les salons littéraires, notamment celui de Mme Récamier, et mène une vie riche en épisodes amoureux, voyages et investissements financiers ruineux. Pour régler ses créanciers, il doit travailler toute sa vie comme un forcené.

Il rédige également des articles dans les journaux. Avec Alexandre Dumas et Eugène Sue, il est l’un des pionniers du roman-feuilleton. Il lutte aussi pour la protection des droits d’auteur et participe activement à la fondation de la Société des gens de lettres. Durant seize années, il entretient une abondante correspondance avec madame Hanska, une comtesse polonaise qu’il épouse quelques mois avant sa mort.

Doué d’une puissance de travail peu commune, Balzac finit par user sa santé et son énergie. Il décède à Paris en 1850 à l’âge de 51 ans.

Edition(s) de référence :

  • La Pléiade, « nouvelle édition » en 12 volumes parus de 1976 à 1981 sous la direction de Pierre-Georges Castex.

Tome 1 – (Avant-propos de La Comédie humaine. Études de mœurs, scènes de la vie privée : La Maison du Chat-qui-pelote – Le Bal de Sceaux – Mémoires de deux jeunes mariées – La Bourse – Modeste Mignon – Un Début dans la vie – Albert Savarus – La Vendetta) N°26 1976 1712 pages 65,00 €

Tome 2 – (Études de mœurs, scènes de la vie privée (suite) : Une Double famille – La Paix du ménage – Madame Firmiani – Étude de femme – La Fausse Maîtresse – Une Fille d’Ève – Le Message – La Grenadière – La Femme abandonnée – Honorine – Béatrix – Gobseck – La Femme de trente ans) N°27 1976 1680 pages 62,00 €

Tome 3 – (Études de mœurs, scènes de la vie privée (fin) : Le Père Goriot – Le Colonel Chabert – La Messe de l’athée – L’Interdiction – Le Contrat de mariage – Autre étude de femme. Études de mœurs, scènes de la vie de province : Ursule Mirouet – Eugénie Grandet) N°30 1976 1760 pages 60,00 €

Tome 4 – (Études de mœurs, scènes de la vie de province (suite) : Pierrette – Le Curé de Tours – La Rabouilleuse – L’Illustre Gaudissart – La Muse du département – La Vieille fille – Le Cabinet des antiques) N°31 1976 1600 pages 55,00 €

Tome 5 – (Études de mœurs, scènes de la vie de province (fin) : Illusions perdues. Études de mœurs, scènes de la vie parisienne : Histoire des Treize I. Ferragus ; II. La Duchesse de Langeais ; III. La Fille aux yeux d’or) N°32 1977 1584 pages 56,00 €

Tome 6 – (Études de mœurs, scènes de la vie parisienne (suite) : Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau – La Maison Nucingen – Splendeurs et misères des courtisanes – Les Secrets de la princesse de Cadignan – Facino Cane – Sarrasine – Pierre Grassou) N°35 1977 1600 pages 59,00 €

Tome 7 – (Études de mœurs, scènes de la vie parisienne (suite) : Les parents pauvres I. La Cousine Bette ; II. Le Cousin Pons – Un Homme d’affaires – Un Prince de la bohème – Gaudissart II – Les Employés – Les Comédiens sans le savoir) N°38 1977 1760 pages 64,00 €

Tome 8 – (Études de mœurs, scènes de la vie parisienne (fin) : Les Petits Bourgeois – Madame de La Chanterie – L’Initié. Études de mœurs, scènes de la vie politique : Un Épisode sous la Terreur – Une Ténébreuse affaire – Le Député d’Arcis – Z. Marcas. Études de mœurs, scènes de la vie militaire : Les Chouans – Une Passion dans le désert) N°39 1978 1872 pages 67,00 €

Tome 9 – (Études de mœurs, scènes de la vie de campagne : Les Paysans – Le Médecin de campagne – Le Curé de village – Le Lys dans la vallée) N°41 1978 1776 pages 60,00 €

Tome 10 – (Études philosophiques : La Peau de chagrin – Jésus-Christ en Flandre – Melmoth réconcilié – Le Chef-d’œuvre inconnu – Gambara – Massimilla Doni – La Recherche de l’absolu – L’Enfant maudit – Adieu – Les Marana – Le Réquisitionnaire – El Verdugo – Un drame au bord de la mer) N°141 1980 1856 pages 66,00 €

Tome 11 – (Études philosophiques (fin) : Maître Cornélius – L’Auberge rouge – Sur Catherine de Médicis – L’Élixir de longue vie – Préface du « Livre mystique » – Les Proscrits – Louis Lambert – Séraphita. Études analytiques (début) : Physiologie du mariage) N°42 1979 1952 pages 66,00 €

Tome 12 – (Études analytiques (fin) : Petites misères de la vie conjugale – Pathologie de la vie sociale. Ébauches rattachées à «La Comédie humaine» : Sœur Marie des Anges – La Comédienne de salon – Valentine et Valentin – Perdita – Le Programme d’une jeune veuve – Les Héritiers Boirouge ou fragments d’histoire générale – Un Grand homme de Paris en province – La Gloire des sots – Les Méfaits d’un procureur du roi – Un Caractère de femme – Échantillon de causerie française – La Fin d’un dandy – Entre savants – L’Hôpital et le peuple – Le Théâtre comme il est – La Femme auteur – Mademoiselle du Vissard ou la France sous le Consulat – La Bataille – Les Deux amis – Les Martyrs ignorés – Aventures administratives d’une idée heureuse – Le Prêtre catholique – La Frélore – Adam-le-chercheur – Anatomie des corps enseignants) N°292 1981 2000 pages 61,00 €

Par rapport à la première édition Pléiade en 10 volumes parus de 1935 à 1937 sous la direction de Marcel Bouteron (auquel il faut ajouter une partie du volume 11 contenant les œuvres ébauchées, paru en 1960), la « nouvelle édition » en Pléiade sous la direction de Pierre-Georges Castex contient un appareil critique plus important que celui de l’ancienne édition : préfaces originales pour chaque œuvre, nombreuses notes, variantes et documents nombreux (histoire des textes, bibliographies, index des personnages fictifs, des personnes réelles et des œuvres citées). Cette édition Pléiade a pour texte de référence le « Furne corrigé. »

  • L’édition Furne et le Furne corrigé.

On considère généralement comme l’édition originale les dix-sept volumes que font paraitre les éditeurs Furne, Dubochet, Hetzel et Paulin entre 1842 et 1848, complétés par trois autres volumes édités par Houssiaux de 1853 à 1855.

Selon le site de la Maison de Balzac : « Première édition des œuvres complètes de Balzac, regroupées à cette occasion sous le titre général La Comédie humaine, c’est aussi la dernière édition qui ait été revue par l’écrivain, qui, comme à son habitude, modifie ses textes après leur publication. Malheureusement, Balzac meurt avant d’avoir pu achever sa tâche. Les volumes de son exemplaire, corrigés de sa main, sont achetés par le collectionneur et bibliophile Charles Spoelberch de Lovenjoul à la mort de Mme Hanska (veuve de Balzac) puis légués à la bibliothèque de l’Institut de France. C’est généralement cet exemplaire, appelé « Furne corrigé », qui sert de référence à l’établissement des éditions posthumes de Balzac. »

L’édition définitive est illustrée de 154 planches hors-texte ; cette édition a été numérisée par la BNF, elle est disponible à la consultation : https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30051006q.public

Il serait évidemment intéressant de disposer des illustrations dans l’édition en Pléiade. Peut-être un jour à l’occasion d’une hypothétique troisième édition ?

Livre(s) et ressources recommandables :

Deux  sites de référence sont à consulter pour tout ce qui concerne notamment les différentes éditions:

1/ Edition Furne en ligne – lien –

Je cite :

La publication en mode texte de la première édition de La Comédie humaine (dite édition Furne, 1842-1855), paginée et encodée, est le fruit d’un partenariat entre le Groupe International de Recherches Balzaciennes, la Maison de Balzac (musée de la Ville de Paris) et le groupe ARTFL de l’Université de Chicago.

Ce site est une mine pour les chercheurs et les passionnés.

2/ Le site du Groupe d’études balzacienne de l’Université de Paris Sorbonne – lien –

très érudit également.

2 réponses
  1. Lombard
    Lombard dit :

    LE POINT DE VUE DU LECTEUR : POURQUOI FAUT-IL LIRE LA COMEDIE HUMAINE DE BALZAC ET COMMENT LA LIRE ?

    1. Pour lire La Comédie humaine il faut être prêt et en avoir envie.

    Lycéen, puis étudiant, puis jeune adulte actif, j’ai fait plusieurs tentatives pour aborder Balzac avec Le Père Goriot et Eugénie Grandet dont on me vantait régulièrement les mérites. Ces tentatives misérables se sont chaque fois soldées par un échec : manque d’intérêt pour le sujet, impression de style fouillis, complexe, de descriptions interminables… rien d’original à ce rejet. Puis, bien plus tard, j’ai découvert l’œuvre, je l’ai dévorée, je l’ai adorée et je l’ai définitivement placée au sommet de mon panthéon de la littérature française.

    Il m’a donc fallu du temps. Il a fallu que je lise d’autres œuvres, des romans bien sûr, mais aussi des essais et des chroniques, et – enfin – que j’échange avec des amateurs de La Comédie humaine qui m’ont donné envie de lire Balzac. Au départ, bien sûr, je ne pensais que lire au maximum une dizaine de romans de Balzac « pour me faire une idée » ; j’ai donc acquis deux volumes en Pléiade et je les ai lus consciencieusement. Je ne savais pas que j’abordais une aventure littéraire qui aller durer plusieurs années…

    2. Pour lire La Comédie humaine il faut avoir le temps.

    Selon ma méthode de lecture usuelle, j’ai lu la totalité des romans du Tome 3 en Pléiade. J’avais acquis le tome 3 parce qu’il contenait Le Père Goriot dont on a l’impression qu’on l’étudie en classe depuis sa parution, ainsi qu’Eugénie Grandet dont j’entendais parler depuis si longtemps. Rapidement, je me suis passionné à la fois pour l’écriture de Balzac et pour ces personnages qui reflètent une partie de ceux qui ont vécu au cours de la première moitié du XIXe siècle, une période pas si lointaine à l’échelle de l’histoire. Bien entendu, à la fin de ce premier tome, j’avais envie de poursuivre, mais mon expérience de lecteur devenu déjà assidu m’a mis en garde contre le risque de saturation, ou tout simplement celui de ne pas profiter à leur juste valeur de ces romans qui méritaient bien d’être distillés et goûtés lentement, comme tout ce qui est bon. J’ai donc attendu un peu. Mais avant de lire un autre tome, et malgré que j’avais appris que Balzac n’avait qu’ a posteriori relié tous ses romans de façon à constituer une sorte de grande saga, parfois de façon un peu artificielle quitte à renommer les personnages, je me suis pris au jeu et me suis demandé ce qu’il s’était passé avant ; j’abordais La Comédie humaine avec le même appétit qui conduit à attendre la suite des épisodes de sa série télévisée préférée !

    3. On peut lire La Comédie humaine dans l’ordre chronologique.

    Bien entendu, il existe des tas de façons d’aborder cette immense cathédrale littéraire. La première est tout simplement d’aborder chaque volume au gré de ses envies, en fonction de l’intérêt que l’on peut porter à l’histoire. La deuxième est de tenter de suivre les pérégrinations de tel ou tel personnage. La troisième est d’opérer une sélection sévère des « Balzac qu’il faut avoir lus », selon ses connaissances, selon les critiques, voire selon les programmes scolaires et – pourquoi pas – les adaptations cinématographiques, bien que l’œuvre de Balzac n’ait été que relativement peu portée à l’écran, peut-être parce que l’une de ses grandes forces réside dans son style et qu’il est bien difficile de rendre justice à la langue quand on se contente de dialogues et de quelques extraits narrés par une voix-off. Le lecteur appliqué pourra aussi lire les romans dans l’ordre de leur écriture. J’ai choisi pour ma part une cinquième méthode, celle de lire La Comédie humaine dans l’ordre que Balzac nous a laissé en reclassant ses ouvrages selon l’édition Furne corrigée, c’est-à-dire en respectant strictement l’ordre de publication retenu par Gallimard pour la « nouvelle édition » en Pléiade.
    Pour cela, il m’a fallu du temps, beaucoup de temps. Je me suis volontairement restreint, alternant d’autres lectures entre mes Balzac. En gros, en laissant trois à quatre mois de battement entre deux tomes, ce qui m’a permis de ne jamais me lasser tout en de conservant en tête le fil de mes lectures balzaciennes, mon voyage littéraire a couru sur un peu plus de trois ans.

    4. Y-a-t-il une vie après La Comédie humaine ?

    Arrivé à la dernière page, je me suis lentement sevré, conservant à portée de mains le dictionnaire des personnages publié dans le tome 12. Depuis, j’ai tenté d’assimiler, j’ai laissé « reposer », j’ai lu à propos de Balzac, j’ai bien sûr eu envie de lire ses autres œuvres de fiction ou sa correspondance. J’ai même découvert quelques « inédits » en Pléiade – notamment un petit opuscule édité pour le château de Saché. Mais j’ai pris une décision irrévocable : je relirai La Comédie humaine, et, cette fois-ci, peut-être pas dans l’ordre chronologique éditorial, quoi que… Mais comment ne pas relire ce qui constitue pour moi l’un des monuments de la littérature française ? Je ne sais plus qui disait : « vous savez, en vieillissant, on finit par relire toujours les mêmes livres. ». Ce qui est certain, c’est que si je devais emporter une œuvre sur une île déserte, La Comédie humaine serait un sérieux concurrent.

    Répondre
  2. Lombard
    Lombard dit :

    LE POINT DE VUE DU LECTEUR (BIS) : UN CLASSEMENT BALZACIEN

    Il n’y a pas de raison que je n’y aille pas de mon petit classement. Si cela pouvait donner envie à une personne de lire l’un de ces romans, voire de découvrir La Comédie humaine, alors j’en serais heureux.
    Je note mes lectures avec des petites étoiles, de 0 à 4 étoiles, comme je le faisais jadis pour les films. Et puis, au fil du temps, j’ai apporté des nuances : tel valait un peu plus que sa notation en raison de son intérêt historique ou littéraire, à un autre il manquait un petit quelque chose pour lui attribuer la note pleine… Bref, j’en suis venu à noter avec des« demi-étoiles », ce qui correspond à une notation de 1 à 8. Je sais combien cela paraîtra vain ou enfantin à certains, prétentieux à d’autres : il ne faut le voir que comme un jeu, avec toute ce que cette notation a de personnel, d’injuste, d’instantané, de bonne ou de mauvaise foi, et surtout combien elle est empreinte de subjectivité. Et alors ? Mon appréciation en vaut bien une autre ; alors j’ai décidé de laisser mes petites notes en face des titres que je cite.

    1. L’Histoire des treize : les chefs–d’œuvre

    Ce sont ceux que j’ai adorés, probablement parce l’histoire m’a particulièrement touché, peut-être parce je leur ai porté plus d’attention, peut-être parce que le moment était plus favorable. Toujours est-il que si j’adoptais une approche non chronologique de ma relecture de l’œuvre, je commencerai par ceux-ci :
    Modeste Mignon ****
    Béatrix ****
    Le Père Goriot ****
    Eugénie Grandet ****
    Le Curé de Tours ****
    La Rabouilleuse ****
    La Muse du département ****
    Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau ****
    Le Cousin Pons ****
    Une Ténébreuse affaire ****
    Le Curé du village ****
    Le Lys dans la vallée ****
    La Recherche de l’absolu ****

    2. La recherche de l’absolu : les grands romans

    Ceux-là sont aux chefs-d’œuvre ce que sont les crus bourgeois au grands crus du Bordelais : si l’on prend la peine de les déguster, alors on peut y découvrir de petits bijoux de littérature, des trésors cachés de descriptions dont seul Balzac est capable, et parfois des scénarios tout à fait passionnants :
    Ursule Mirouët ***
    Pierrette ***
    La Vieille fille ***
    Le Cabinet des antiques ***
    Illusions perdues ***
    Histoire des treize I. Ferragus ***
    Histoire des Treize II. La Duchesse de Langeais **
    Histoire des Treize III. La fille aux yeux d’or ***
    Splendeurs et misères des courtisanes ***
    Pierre Grassou ***
    L’envers de l’histoire contemporaine I. Madame de La Chanterie ***
    L’envers de l’histoire contemporaine II. L’Initié **
    La Cousine Bette ***
    Un Épisode sous la Terreur ***
    Le Député d’Arcis (inach.) ***
    Les Chouans ***
    Les Paysans (inach.) ***
    Le Médecin de campagne ***
    Maître Cornélius ***
    La Maison du Chat-qui-pelote **
    Le Bal de Sceaux **
    Mémoire de deux jeunes mariées **
    La Bourse **
    Un début dans la vie **
    Albert Savarus **
    Une Double famille **
    La Paix du ménage **
    Madame Firmiani **
    Étude de femme **
    La Fausse Maîtresse **
    Une Fille d’Ève **
    Le Message **
    La Grenadière **
    La Femme abandonnée **
    Honorine **
    Gobseck **
    La Femme de trente ans **
    Le Colonel Chabert **
    La Messe de l’athée **
    L’Interdiction **
    Le Contrat de mariage **
    Autre étude de femme **
    L’Illustre Gaudissart **
    La Maison Nucingen **
    Les Secrets de la princesse de Cadignan **
    Facino Cane **
    Sarrasine **
    Un Homme d’affaires **
    Un Prince de la bohème **
    Gaudissart II **
    Les Employés **
    Les Comédiens sans le savoir **
    Les Petits Bourgeois (inach.) **
    Z. Marcas **
    Une passion dans le désert **
    La Peau de chagrin **
    Jésus-Christ en Flandre **
    Melmoth réconcilié **
    Le Chef-d’œuvre inconnu **
    Gambara **
    Massimilla Doni **
    L’Enfant maudit **
    Adieu **
    Les Marana **
    Le Réquisitionnaire **
    El Verdugo **
    Un drame au bord de la mer **
    L’Auberge rouge **1/2
    Sur Catherine de Médicis ***1/2
    L’Élixir de longue vie **
    Les Proscrits **1/2
    Louis Lambert **
    Physiologie du mariage **1/2
    Petites misères de la vie conjugale ***
    Traité de la vie élégante **

    3. Les Parents pauvres : les délaissés

    Pour le complétiste, il faut évidemment les lire. Ce sont en général des opuscules, des esquisses, des inachevés, parfois de courtes nouvelles se composant de peu de pages. Tous possèdent en eux le germe d’un grand roman, mais, pour la plupart, ils sont restés à l’état de projet, ou, parfois, ils ne nécessitaient pas un grand développement pour que l’auteur y traite d’un sujet :
    Séraphita *1/2
    Théorie de la démarche *1/2
    Traité des excitants modernes *
    Sœur Marie des Anges 1/2
    La Comédienne de salon 1/2
    Valentine et Valentin 1/2
    Perdita 1/2
    Le Programme d’une jeune veuve 1/2
    Les Héritiers Boirouge ou fragments d’histoire générale 1/2
    Un Grand homme de Paris en province 1/2
    La Gloire des sots 1/2
    Les Méfaits d’un procureur du roi *
    Un Caractère de femme 1/2
    Échantillon de causerie française **
    La Fin d’un dandy 1/2
    Entre savants *
    L’Hôpital et le peuple 1/2
    Le Théâtre comme il est *
    La Femme auteur *
    Mademoiselle du Vissard ou la France sous le Consulat *
    La Bataille 1/2
    Les Deux amis **
    Les Martyrs ignorés **
    Aventures administratives d’une idée heureuse *
    Le Prêtre catholique 1/2
    La Frélore *
    Adam-le-chercheur 1/2
    Anatomie des corps enseignants 1/2

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